Alors que les services d’auxiliaires autogérés du Programme de financement direct existe depuis maintenant 18 ans, sa philosophie et ses principes sous-jacents remontent à plus de 50 ans. Dans les années 1960, une poignée d'étudiants «consommateurs» (personnes handicapées qui utilisent ou «consomment» des services liés aux besoins des personnes handicapées) et fréquentant l'Université de Californie a défini une approche non médicale, non-charitable pour les personnes handicapés.
Consommateurs et étudiants ont fait valoir qu’ils ne sont pas malades ou dans le besoin d'une cure. Ils ont développé des principes de vie autonome associée à des services qui en découlent :
Ces principes et cette philosophie se répartirent dans toute l'Amérique du Nord et dans le monde, conduisant à la création de Centres de ressources pour la vie autonome (CRVA) établis grâce à un financement du gouvernement fédéral. Nous retrouvons maintenant 12 CRVA en Ontario et un total de 28 au Canada.
Quelques décennies auparavant, les utilisateurs de services auxiliaires en Ontario étaient généralement limités à deux options: demeurer dans un logement supervisé ou l'utilisation de services d’auxiliaires par l’entremise des agences de services. Certains consommateurs, désireux d’un plus grand choix, de contrôle et de flexibilité que ce qu'ils recevaient de ces programmes, ont commencé à élaborer des stratégies pour développer un partenariat entre les consommateurs et le gouvernement provincial qui permettrait aux fonds pour les services auxiliaires d’être attribué directement aux particuliers. Un tel arrangement, pensaient-ils, serait mieux répondre aux besoins des consommateurs d'exercer pleinement leur responsabilité, l'autonomie et l'autodétermination en ce qui concerne les services qui en découlent ; vivre en dehors d’un logement et/ou secteur désigné, d'avoir plus de contrôle sur qui offrirait la meilleure assistance personnelle sur une base quotidienne et dans les relations humaines impliquées, et de recevoir le montant de service requis, ainsi qu’exercer la flexibilité sur la planification de leurs services.
Pendant la période de l'élaboration des stratégies, en 1988, le gouvernement a commandé un examen des services auxiliaires de l'Ontario. Parmi les recommandations, le rapport, «Indépendance et contrôle: le rêve d'aujourd'hui, la réalité de demain», indiquait la nécessité de fournir une option de financement direct.
1975.
Projets pilotes SSLU établis financés par le ministère des Services sociaux et communautaires, des projets pilotes de soutien unité résidentielle service sont établis pour fournir 24 heures, les services qui en découlent consommateur-dirigés dans des appartements désignés et les paramètres en cluster.
Tôt 1990's
Des stratégies d'utilisateurs de services d'auxiliaires commencent l'élaboration de stratégies d'un partenariat axé sur le consommateur entre les consommateurs de l'Ontario et le gouvernement provincial.
1993
Loi modifiée après des années de négociation par les consommateurs et leurs défenseurs, la Loi sur le ministère des Services sociaux et communautaires (projet de loi I0I) est modifiée afin de permettre le financement direct.
1994-95
Les fonds gouvernementaux programme pilote ministre de la Santé de l'Ontario annonce l'approbation du financement pour un programme pilote de financement direct, à exécuter par le Centre for Independent Living in Toronto (CILT) et le Réseau des centres de vie autonome de l'Ontario. Gouvernement alloue 4,4 millions de dollars permettra pilote, fournissant plus tard un montant supplémentaire de $ 750,000 à CILT, permettant aux consommateurs de I02 à participer.
1998
Pilote devient programmes gouvernementaux de l'Ontario augmentations budgétaires de financement direct à 18,7 M $, permettant au programme de financer environ 700 Ontario autogestionnaires
2011
Transfert du programme aux RLISS ministère provincial de la Santé et des Soins de LongTenm annonce son intention de transférer l'administration du programme de financement direct au réseau du Centre-Toronto local d'intégration (TCLHIN). CILT a travaillé avec succès avec TCLHIN de finaliser une entente de trois ans pour assurer l'intégrité du programme est protégé en écriture et peut continuer comme il est maintenant.
En mai 1990, le «Attendant Care Action Coalition (ACAC)», le Centre for independent living de Toronto (CILT) et London Cheshire Homes ont organisé au camp Woodeden près de London, Ontario, la toute première conférence provinciale pour les consommateurs d’auxiliaires. Elle réunit les consommateurs et leurs auxiliaires, les chercheurs, les membres du Centre pour la vie autonome, les responsables gouvernementaux et les fournisseurs de services.
La coalition et le CILT ont complété un rapport de position et ont proposé un modèle pour le financement direct individualisé pour les services qui en découlent. En collaboration avec l'Association canadienne des centres de vie autonome (ACCVA), l'Association canadienne des centres de vie autonome (ACCVA), ils ont envoyé une lettre récapitulative au gouvernement.
Durant l'été 1992, le ministre de la Santé de l'Ontario a rencontré la Coalition et déclare sa volonté de mettre à l’épreuve ce modèle de service, avec l’aide des Centres pour la vie autonome jouant un rôle clé dans la gestion du projet pilote proposé. Un comité directeur composé de représentants des politiques gouvernementales, du personnel politique de trois ministères ainsi que des consommateurs de services auxiliaires ont travaillé en étroite collaboration sur le document politique du gouvernement pour le projet pilote du programme de financement direct.
En 1993, après des années de négociation par les consommateurs et leurs défenseurs à travers trois périodes électorales provinciales et autant de partis politiques différents au pouvoir - le projet du Ministère des services sociaux et communautaires (projet de loi 101) a été modifié pour permettre le financement direct.
L'année suivante, lors d'une conférence tenue à Woodeden Camp des consommateurs sur les services auxiliaires, le Ministre de la Santé a annoncé que le financement avait été approuvé pour le projet pilote de financement direct et que le projet serait mis à exécution par le CILT et le Réseau des centres pour la vie autonome de l’Ontario.
Le gouvernement provincial a alloué 4,4 millions de dollars pour le projet pilote de deux ans à partir de 1994. Le CILT, un organisme gérée par et pour des personnes handicapées, a été choisi comme l'administrateur du projet pilote en raison de son expérience pour des projets à gros budget et toute l'aide apportée aux consommateurs pour trouver des services auxiliaires appropriés. En 1997, 102 consommateurs ont participé au projet pilote, tous les participants ont tenté ce risque en renonçant à leurs droits d'utiliser d'autres types de services d'accompagnement à financement public en faveur de l'embauche et la gestion de leurs propres services d'accompagnement à-travers le programme de financement direct.
Une évaluation ultérieure des autogestionnaires au projet pilote (le nom donné au participant au programme), a rapporté une augmentation de l’autodétermination dans tous les aspects de la vie, un sens de vulnérabilité réduit, une plus grande indépendance, un sentiment grandissant d'estime de soi, des relations personnelles plus épanouissantes et une plus grande participation sociale.
En 1998, le gouvernement de l'Ontario a augmenté le budget au programme de financement direct à 18,7 millions de dollars et est devenu un programme à part entière soutenant environ 700 participants. Le nombre de participants est demeuré à environ 700 depuis 1998, et environ 300 noms sont sur la liste d'attente. Une augmentation du financement annoncé à la fin 2011 visait à réduire la liste d'attente et permettait d’ajouter jusqu'à 50 consommateurs à devenir autogestionnaires.
En 2011, le Ministère de la Santé a annoncé son intention de transférer l'administration du programme de financement direct au Réseau local d'intégration des services de santé de Toronto (TCLHIN). Ce changement administratif signifiait que CILT recevrait maintenant ses fonds du ministère à travers le TCLHIN et doit rendre des comptes et des rapports au TCLHIN au lieu du Ministère de la Santé directement. CILT a également négocié une entente de trois ans avec TCLHIN qui décrit le programme de financement direct, sa conception, énonce ses caractéristiques uniques et fournit des statistiques démographiques de sorte que le programme est protégé par écrit et peut continuer tel qu'il est aujourd'hui.
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